Livre d'or
6 message(s) dans le livre d'or
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- Florence Le 09/03/2016
Bravo ! Les aquarelles ont du charme mais j''aime surtout la série des villes et scènes de genre. Tu t'es forgé là un style déjà original et reconnaissable entre tous, qui sait capter le mystère de la nuit, des lumières, des promeneurs isolés...On espère une expo bien vite ! -
- barbara Delaplace Le 10/12/2015
J'ai hâte de trouver ici ton dernier tableau "East End". C'est vraiment un aboutissement, une atmosphère étrange et mystérieuse qui n'appartient qu'à toi, un côté "Hopperien" qui se confirme, bravo pour cette belle réussite. -
- Patrick Wagner Le 29/06/2014
Les scènes de ville sont très évocatrices de l'ambiance qu'on peut trouver chez des romanciers comme Francis Carco (Les Innocents) ou chez Raymond Queneau (Pierrot mon ami). On devine tout proches les personnages de ces romans populaires, où la banalité du réalisme le plus cru laisse percevoir la beauté du sur-réalisme sous-jacent. On touche ici au "Dimanche de la vie" (pour reprendre une fois de plus un titre du génial Raymond Queneau), c'est à dire ce qui reste une fois qu'on a tout dit et tout fait, il ne reste plus qu'à regarder et ne rien faire. -
- Michèle Frémontier Le 25/06/2014
Je partage le point de vue de Barbara (non pas sur l'évolution de l'inspiration car je n'ai pas connaissance des différentes périodes) en ce qui concerne la "petite poussette". De manière générale j'adore tous les tableaux donnant à voir une perception d'au-delà des apparences de la ville. La ville, qu'elle soit de jour ou de nuit, est une ville vue avec l'œil d'un chaman. Un œil qui voit au-delà de l'épaisseur du monde (expression de Céline). Au premier abord, instinctivement, j'ai pensé à Hopper moi aussi. Mais en fait, c'est une intuition "paresseuse" car il s'agit là de bien autre chose. Il ne s'agit pas de montrer un monde figé, vitrifié, fait de solitude et de misère (Hopper est magique justement parce qu'il donne à voir, mais il ne voit pas au-delà de ce que l'on peut voir) mais bien au contraire de porter un regard sur les mystères du monde comme une activité réjouissante. Oui, il y a aussi ces personnes perdus dans ces paysages urbains, comme chez Friedrich, avec cette fascination pour l'immensité de l'espace métaphysique. Je pense que Bouis devrait creuser cette veine urbaine. C'est son univers. Vision pas réaliste, mystérieuse, magnétique. Quand il s'essaie à une vision du réel, j'ai l'impression qu'il fait des gammes, mais non que l'on y voit un vrai regard. Je vote pour la poursuite de l'aventure urbaine, exclusivement, radicalement. -
- Christine Le 27/05/2014
Merci Xavier pour cette promenade picturale. Que de superbes découvertes.
Un réel plaisir. -
- barbara Le 09/05/2014
Quel plaisir de visiter ton site, et de voir ainsi l'évolution de ton inspiration. J'aime particulièrement tes scènes de genre, et plus particulièrement encore la "Petite Poussette". C'est un tableau fascinant qui nous plonge dans une mystérieuse ambiance "hopperienne".
Félicitations vraiment.
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